ile de SalSal est la première ile que nous avons visité: la plus au vent. Nous sommes resté 12 jours à Palméria le port de l’ile, en attendant de savoir où allait arriver nos visiteurs. Nous avons mis une dizaine de jours à nous acclimater à la chaleur. Sal est très pauvre, mais nous avons reçu un très bon accueil des locaux, pas de soucis. Par contre c’est un désert de type martien avec des collines basses parsemées de cailloux rougeâtre de toutes tailles et quelques rares taches vertes dans le creux.

Dans le sud-est: Santa Maria, une superbe baie avec plage blanche pour surf et planche à voile. Devant le vieux village, une petite zone d’hôtels modernes style canariens Disneyland. Une tentative pour y aller avec MyHalong, mais un demi-tour car mouillage très agité. JP dans le vent Le lendemain on y retourne en aluger. L’aluger (taxi collectif) est une spécialité du Cap Vert, rustique mais très bon marché pour aller d’un village à l’autre. A part la plage et les pécheurs et avec la Wifi à 5 euros l’heure, pas grand-chose pour inciter à rester très longtemps à Santa Maria. Retour au bateau, mais sur la plateforme de l’aluger cette fois, à 90 km/h contre le vent, ca décoiffe gravement.

Santa Maria

Balade locale : My se trouve deux copines pour aller se tremper dans la boue aux salines. Des plongées en apnée sympathiques malgré l’eau trouble. Vu une langouste, des poissons coffres et beaucoup d’éponges et de coraux. On en verra plus tard des superbes, mais ce sont les premiers avec MyHalong.salinesBoues à Sal